Le Parisien a révélé le 26 mai 2018, une note des Renseignements Territoriaux sur le salafisme qui pointe une lecture de l’islam incompatible avec les valeurs fondamentales de la société française
Depuis les années 1990, le salafisme serait estimé à 5 000 adeptes en 2004, 12 000 en 2010, et entre 30 000 et 50 000 aujourd’hui. La progression serait « surtout perceptible parmi les jeunes générations, souvent converties, et issues des quartiers sensibles ».
La note qui fait le distinction entre les salafistes « jihadistes » et les « quiétistes » souligne quand même que La porosité entre les deux courants est une réalité avérée et l’on constate régulièrement des passages de la catégorie pacifique à l’autre
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